Proyecto bombo legüero

Vernissage de l’exposition et présentation du livre « Proyecto Bombo Legüero »

De Javier Valado et Yann Maury-Robin

Les racines africaines et quechuas vibrent dans chaque ceibo, dans chaque cour de terre, et sous les coups des musiciens les bombos marquent le rythme de la chacarera, chant et danse populaire qui vient aussi de Santiago del Estero. Sur les terres argentines, joueurs de bombos, luthiers, chanteurs et danseurs font du bombo legüero un moyen de communication, « un chant de liberté ».

Projection du film « Bombo Legüero »

Le Bombo Legüero

Le livre de photographie Le Bombo Legüero a été réalisé par Yann Maury-Robin et Javier Valado après deux ans de travail de manière indépendante. C'est une invitation à sentir les battements de la pachamama (la terre-mère pour les peuples andins).

Le bombo legüero est l'instrument de percussion le plus populaire du folklore argentin. Il vient de Santiago del Estero, province du nord du pays. Son corps est d'une seule pièce, venant de l'arbre du ceibo, et sa fabrication entièrement naturelle. Depuis plusieurs années, cet instrument a gagné son autonomie, son indépendace; il s'enseigne et se joue dans les écoles et les groupes de percussion, omniprésents sur tout le continent latino-américain.

Le film

L'audiovisuel du bombo legüero a été réalisé par Victoria Majdalani. Il présente les images et textes les plus significatifs du livre, et accompagnés de la musique de Demi Carabajal, il redessine ce beau voyage de Buenos Aires à Santiago del Estero. Là-bas, les racines africaines et quechuas vibrent dans chaque ceibo, dans chaque cour de terre, et sous les coups des musiciens les bombos marquent le rythme de la chacarera, chant et danse populaire qui vient aussi de Santiago del Estero.

Sur les terres argentines, joueurs de bombos, luthiers, chanteurs et danseurs font du bombo legüero un moyen de communication, « un chant de liberté ». Photographies de Javier Valado et Yann Maury-Robin, extraites du livre « Le Bombo Legüero » imprimé à Buenos Aires en Argentine en juin 2011.

• Musique : gentillesse de Demi Carabajal
• Edition : Victoria Majdalani
• Durée : 6,44 minutes